Médecine esthétique

MÉDÉCINE ESTHÉTIQUE EN GÉNÉRAL

Qu’est-ce que la médecine esthétique ?

La médecine esthétique est une médecine qui a démarré aux Etats-Unis dans les années 90 puis tres rapidement en Europe et en particulier en France. Cette discipline à complètement exploser avec l’arrivée des traitements anti-rides(collagène, l’acide hyaluronique…) et surtout avec la toxine botulique (Botox). L’objectif de la médecine esthétique est de ralentir ou de corriger les signes du vieillissement comme les rides, l’affaissement et le creusement du visage par des gestes qui ne sont pas chirurgicaux. Les méthodes qui relèvent de cette médecine sont deux ordre : il s’agit des méthodes de comblements (injections de produits résorbables ou non, de graisse, etc.) et des méthodes de soustraction (peeling, laser-abrasion, micro aspiration) le botox ? qui ne nécessitent pas d’être faite dans un bloc opératoire. Ces traitements peuvent intervenir avant la chirurgie ou venir la compléter selon le cas. Ce qui est important c’est que tous les produits utilisés pour ces actes relèvent de l’usage médical, c’est-à-dire que seuls des médecins sont habilités à les utiliser. De ce fait tout médecin qu’il soit généraliste ou spécialiste peut s’estimer apte à pratiquer ces interventions du moment qu’il a prêté le serment d’hyppocrate.

En France, la médecine esthétique n’est pas reconnue comme une spécialité, ce sont souvent  les laboratoires qui organisent des formations pour les médecins à l’utilisation de leurs produits, c’est pourquoi on trouve des médecins généraliste, des gynécologues, des ORL, etc.  mis bien sur des chirurgiens plasticien et des dermatologues qui la pratiquent couramment. Toutefois, devant la demande et le développement de cette médecine deux grandes associations de médecine esthétiques, l’AFME (L’Association Française de Médecine Esthétique) et SFME ( Société Française de Medecine Esthétique) se sont constitués. Leur but, outre le regroupement et la formation des médecins est d’aider la médecine esthétique a devenir comme la chirurgie esthétique une spécialité à part entière et reconnue. En dehors d’assurer des formations auprès de leur adhérents, ces associations organisent des congrès, des symposiums, elles ont un site internet et une revue (noms des revues :Journal de Médecine Esthétique et de Chirurgie Dermatologique).

En bref, Méthodes et techniques de traitement relevant de la médecine esthétique :

  • les injections de produits résorbables : ils sont injectés dans le derme afin de gonfler la « cassure » occasionnée par la ride (collagène, acide hyaluronique, etc…).
  • les produits non-résorbables : ils sont placés un peu plus profondément afin de combler les creux et donner des volumes. (métacrylates, acrylamides, Goretex, etc…).
  • la toxine botulique (Botox) : efface les rides dites d’expression (front, pattes d’oie, glabelle)
  • le filling : ou injection de son propre tissu graisseux, réalisant une correction par « auto-greffe ».
  • le mésolift biologique : des minéraux, vitamines, produits hydratants, suivant le cas, sont injectés sur l’ensemble du visage pour redonner éclat du teint et fermeté des tissus.
  • les peelings chimiques : il s’agit de faire peler la peau de tout ou partie du visage par simple application de produit acide.
  • les lasers : ils enlèvent la couche superficielle du derme (avec les ridules) et permettent une régénération d’une nouvelle peau sans défaut.
  • les peelings mécaniques : la micro-dermabrasion enlève aussi la couche superficielle du derme par projection puissante de cristaux d’alumine.
  • les fils tenseurs : fil d’or et fils russes , ils tentent de retendre la peau relâchée
  • les greffes de cheveux : permet de traiter la calvitie grâce aux propres cheveux du patients avec un résultat définitif.

 

A quel âge peut-on commencer ?

Il n’y pas vraiment d’âge précis pour commencer à avoir recours à la médecine esthétique. Ce que l’on peut dire, c’est que l’indication première est très certainement l’apparition des premiers stigmates du vieillissement, ce qui en général se situe aux alentours de 30/35 ans. Bien évidemment, il s’agit ici d’un âge moyen car tout dépend de l’hérédité familiale et du mode de vie de la personne. Par exemple, dans certaines familles les sillons nasogéniens sont marqués très tôt, une personne qui fume et/ou qui abuse du soleil se ride plus vite qu’une autre qui ne fume pas et qui se protège des rayons Ultra Violets. Mais la demande peut aussi relever d’un critère psychologique et ici l’âge rentre peu en ligne de compte. Par exemple une personne jeune peut très bien se sentir mal en société parce qu’elle trouve que ses rides frontales sont trop apparentes pour son âge et émettre le souhait de se faire injecter de la toxine botulique. C’est donc le patient qui fait la demande et c’est au médecin s’il juge que cette personne est trop jeune (moins de 25 ans) et qu’elle n’en a pas réellement besoin qu’il revient de la freiner. Même s’il est vrai qu’il existe des traitements simples comme les peelings doux aux acides de fruits (voir P), le médecin doit toujours identifier la demande de son patient pour pouvoir le conseiller au mieux. Quand la demande vient d’une personne ayant dépassé la soixantaine, ici encore le médecin se doit être clair car la médecine esthétique ne peut pas faire de miracle et ce n’est pas des produits de comblement qui vont, part exemple, retendre des tissus très distendus. S’il le juge utile le médecin doit plutôt que d’accepter de faire des interventions régulières mais peu efficaces conseiller un acte chirurgical.

A quelles parties du corps s’adresse cette médecine ?

La médecine esthétique concerne essentiellement le visage, depuis la ridule jusqu’au sillon en passant par la ride et le relâchement de la peau.

Les ridules sont les petites cassures de la peau qui apparaissent principalement à l’expression du visage mais qui disparaissent quand le visage est au repos, l’exemple typique est la patte d’oie qui apparaît quand une personne sourit. La ride quant à elle est plus marquée et se voit alors même que le visage est au repos. Quant au sillon c’est un trait bien marqué, bien profond et bien creusé dû le plus souvent à l’aggravation d’une ride mais aussi à l’affaissement des tissus, c’est le cas par exemple pour les sillons naso-géniens qui se trouvent de part et d’autre du nez et qui se trouvent d’autant plus marqués et profond du fait que la joue s’affaisse. La ridule ne peut être comblé mais on peut les estomper avec la toxine botulique qui va detendre les muscles (voir question ) contrairement à la ride et au sillon dont c’est l’indication première.

Mais la médecine esthétique peut aussi concernées d’autres parties du corps comme les mains sur lesquelles peuvent apparaître des tâches ou qui peuvent se friper en raison du desséchement de la peau.

 

A quel médecin dois-je m ’adresser ?

Comme il a été dit à la question 30, la médecine esthétique n’est pas une spécialité médicale reconnue par le conseil de l’ordre. Elle peut donc être pratiquée par tout médecin sans que l’on n’ ait aucune certitude sur sa formation. En général, ce sont les spécialistes de la peau qui la pratique le plus couramment : dermatologues, chirurgiens plasticiens, mais de nombreux médecins généralistes renoncent à la pratique de la médecine générale pour se mettre à pratiquer exclusivement cette médecine . Du fait de la non « spécialisation » de ceux qui sont habilités à faire de la médecine esthétique, il semble tout de même plus prudent de vous adresser aux personnes qui connaissent le mieux la peau, c’est-à-dire aux dermatologues et aux plasticiens (chirurgiens esthéstiques et réparateurs). Il est bien évident qu’un gynécologue connaît moins bien les problèmes relatifs la peau que son confrère dermatologue dont c’est la véritable spécialité.

Quant au bouche à l’oreille, cette méthode est bonne mais a ces limites car contrairement à la chirurgie esthétique où les résultats sont visibles sur un laps de temps assez court, en médecine esthétique ont peu voir des complications apparaître plusieurs mois, voire plusieurs années plus tard.

Avant de confier votre visage à un quelconque médecin, vous devez donc vous assurer qu’il a bien la compétence des produits qu’il utilise. Si ces renseignements ne sont pas toujours faciles à obtenir certaines pistes peuvent tout de même vous aider à orienter votre choix : le médecin doit être capable de vous expliquer quel est la nature du produit qu’il emploie, vous dire clairement quels en sont les risques et les avantages, etc.(voir …).il doit également vous expliquer pourquoi il pense que ce produit est adapté à votre cas, Face à un médecin qui refuserait ou tout simplement qui se trouverait dans l’incapacité de vous donner des explications claires, le mieux à faire est encore de demander d’autres avis ! Les laboratoires presentent régulierement de nouveaux produits, plus durables, moins chers…etc et propose aux medecins de les tester gratuitement.celui ci devra donc vous dire depuis quand existe ce produit et depuis quand il l’utilise.

Quel que soit le médecin celui-ci doit être capable de:

  • vous expliquer le ou les produits qu’il emploie
  • vous soumettre les risques et les avantages de ce produit
  • vous demander si vous avez déjà présenté des allergies à ce produit ou à d’autres.
  • vous demander si vous avez déjà eu une injection et de quel produit
  • Vous demander si vous êtes enceinte ou si vous allaitez.
  • Vous demander si vous suivez un traitement médical pour éviter tout risque de complications et quels sont antécédents médicaux
  • vous faire un devis écrit si le montant de ses honoraires dépassent 300 euros
  • vous laisser un délai de réflexion avant de vous faire subir n’importe quel acte de médecine esthétique.

 

Les soins de médecine esthétique peuvent-ils être pris en charge par la Sécurité sociale ?

Non, il n’y a jamais de prise en charge pour tout acte de médecine esthétique contrairement à la chirurgie esthétique où certains actes comme la plastie mammaire peuvent donner lieu à une prise en charge quand la demande est réellement justifiée (pas de seins du tout, ou l’inverse une poitrine beaucoup trop importante, hypertrophie). Quand le chirurgien juge que l’opération est nécessaire parce qu’elle entraîne chez la femme des problèmes physiques et psychologique, il remet alors une demande d’autorisation préalable à sa patiente que celle-ci envoie au centre de sécurité de sociale dont elle dépend. Toutefois, cette prise en charge passe par un contrôle très strict de la caisse de sécurité sociale et si le médecin de la caisse juge que la demande n’est pas justifiée, il convoque alors la personne pour donner son aval ou son refus. Si suite à un envoi de demande d’entente préalable,  la caisse de sécurité sociale ne répond pas, on considère que la prise en charge a été acceptée. Toutefois, toute l’opération n’est pas prise en charge et la patiente doit payer les dépassements d’honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste. Il faut enfin savoir que devant l’exagération et le nombre croissant des demandes des dernières années, peu de personnes peuvent bénéficier aujourd’hui de cette prise en charge et qu’un certain nombre de chirurgiens font l’objet de contrôle de la part des caisses de sécurité sociale.

 

Dois-je exiger du praticien qu’il me dise quel produit il a utilisé ?

Oui, absolument et c’est d’ailleurs une obligation du praticien de vous prévenir du type de produit qu’il compte utiliser. Cette obligation a pour but d’éviter deux types de problèmes, d’une part, les allergies, par exemple, le collagène qui fut très employé à une certaine époque nécessite toujours une petite injection « test » dans l’avant bras ou derriere l’oreille pour renseigner le médecin sur la réaction de l’organisme, et, d’autre part, surtout d’utiliser des produits incompatibles entre eux qui pourraient donner lieu à des complications ultérieures. Or en pratique on constate que bien souvent les personnes ne savent pas ce qu’on leur injecte ou ce que l’on leur a déjà injecté car elle n’ont pas eu de document et que les explications données étaient insuffisantes ou peu claires. Cette ignorance est loin d’être dénuée de conséquences quand on sait par exemple qu’une personne ayant reçu dans la peau un produit non résorbable et qui reçoit ensuite un produit résorbable (voir question) peut activer une réaction de son organisme, qui généralement est locale.

Par souci de prudence et de sécurité, il est donc peut recommandé d’avoir recours à différents types de produits et il est très important, si vous êtes un ou une adepte de la médecine esthétique, que vous notiez toujours quelle que part les noms des produits et les dates auxquels ils vous ont été injectés. Ces renseignements seront utiles au médecin pour savoir s’il peut entreprendre sur votre visage tel ou tel acte, ils le renseigneront également  sur les possibles complications susceptibles de survenir.

 

Quelles sont les complications possible de la médecine esthétique ?

Les complications consécutives à un acte de médecine esthétique sont essentiellement locales, c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas d’une maladie générale qui viendrait atteindre tout l’organisme mais d’une réaction qui surviendrait au niveau de la partie qui a été traitée . Par ailleurs ces complications dépendent du type de produit utilisé. Il faut distinguer deux types de complications, les précoces et les tardives. La distinction se fait en rapport de l’apparition de la complication. Parmi les complications précoces on citera

  • les hématomes ou les ecchymoses ont des suites plus que des complications courantes dû au sang qui s’est échappé des petits vaisseaux qui se trouvent sous la peau. Ils apparaissent notamment si la personne a pris de l’aspirine, ce pourquoi il est toujours important de tenir le médecin au courant des traitements que vous prenez . Si vous êtes sous traitement d’acide salicylique (aspirine) au long cours en raison de problèmes cardio- vasculaires, vous ne devez cependant jamais arrêter votre traitement sans l’avis de votre médecin traitant.
  • la rougeur se caractérise par aspect rouge de la peau. Quand celle-ci apparaît au point d’injection et ne dure que quelques heures, il ne s’agit pas d’une complication mais d’un effet indésirable, mais si elle persiste au-delà il se peut que se soit le début d’une véritable complication. Il convient de rappeler le médecin et de lui montrer l’aspect de cette rougeur pour qu’il s’assure qu’il ne s’agit pas d’un début d’abcès ou d’autre chose
  • la douleur au point d’injection est aussi un effet indésirable courant. Normalement, elle doit disparaître dans les heures qui suivent l’acte. Si elle persistait, vous ne devez pas hésiter à rappeler le médecin car comme pour la rougeur ce peut être le début d’un abcès ou …
  • l’asymétrie des parties corrigées en raison d’un excès ou d’une insuffisance du produit injecté peut parfois arriver. Là encore, il ne s’agit pas vraiment d’une complication mais plutôt d’un effet indésirable. Quand ce type de problème intervient sur une ride qui n’a pas été assez corrigée, le médecin pourra toujours vous faire une retouche. A l’inverse si c’est une ride qui a été trop comblée le problème est plus ennuyeux surtout si le produit utilisé est un produit  non résorbable. Si l’on prend l’exemple de la lèvre par exemple, on imagine facilement combien une lèvre trop gonflée avec un produit non résorbable peut s’avérer être une véritable catastrophe car il n’y a malheureusement plus grand-chose à faire !
  • le risque d’allergie est toujours possible avec tous les produits mais surtout avec le collagene nécessitant un test d’allergie 3  semaines avant l’injection.
  • les complications tardives se caractérisent notamment par l’apparition de granulomes, sorte de petits kystes qui peuvent apparaître sous la peau quelques mois voire 2 ans après avoir subi des injections.
  • les granulomes sont le résultat d’une réaction de l’organisme qui cherche à éliminer un corps étranger. Cette réaction est une réaction de défense fréquente. Elle suit le même principe que la celui de la piqûre d’un insecte qui laisserait son dard. Quand on se fait piquer par une guêpe, par exemple, si l’on ne prend pas la précaution d’ôter complètement le dard, à l’endroit de la piqûre va se former une petite boule. Avec les injections, c’est exactement la même la chose car le produit étant injecter dans la peau il crée une réaction. Celle-ci peut régresser spontanément ou bien au contrairement et donner lieu au granulome. Les granulomes peuvent apparaître sur tout le trajet où le produit à été injecté. Le problème est très difficile à traiter et sur le plan esthétique c’est en général très gênant car la taille de chaque granulome peut être variable et l’évolution est souvent de mauvais pronostic. En effet, il n’ y a aucune tendance à l’amélioration bien au contraire. Au regard du nombre de personnes injectées cette complications reste rare mais il n’en demeure pas moins qu’elle peut à chaque fois que vous vous faites injecter un produits, et ce quel que soit le produit. Par exemple aujourd’hui les laboratoires pharmaceutiques mettent un avertissement dans leur notice, même ceux qui vendent de l’acide hyaluronique ! Le mélange de produit est facteur aggravant c’est pourquoi vous devez toujours prévenir le médecin des injections que vous avez déjà pratiquées.

Lorsque des granulomes apparaissent, le médecin essaye d’agir avec des anti-inflammatoires, notamment des corticoïdes, car il s’agit au départ d’un problème inflammatoire locale. En général le médecin vous suggère de commencer par l’application de corticoïdes locaux mais malheureusement ces crèmes s’avèrent souvent peu efficaces aussi se trouve-t-il dans l’obligation de proposer la voie injectable. Les corticoïdes utilisés sont des corticoïdes dits retard pour que leur action soit lente et qu’ils essayent de ralentir le processus de la réaction. L’inconvénient majeur attaché à ce type de médicaments est que parfois ils font preuve d’une trop grande efficacité ! De ce fait il font bien fondre le kyste mais également la graisse qui se trouve autour de ces kystes. Par ailleurs ils peuvent atrophier la peau. Ce type de traitement ne doit donc être proposé que pour des cas de granulomes importants et rebelles car le risque de se retrouver avec des « trous » est réel.

Enfin, si ce traitement est impossible à pratiquer parce que la personne est trop réactive, la dernière solution envisageable est le recours à la chirurgie, mais là encore ce n’est pas vraiment idéal car la personne se retrouve alors avec des cicatrices sur le visage !

 


BOTOX

Quelles sont toutes les utilisations du BOTOX® ?

Botox®, Dysport®, Vistabel®, Azzalure®, derrière ces noms commerciaux se cache un médicament extraordinaire: la toxine botulique.

 

Qu’est-ce que la Toxine botulique ?

C’est un agent paralytique neuromusculaire; toxine protéique fabriquée par la bactérie clostridium botulinum qui provoque la diminution de la contraction musculaire. En chirurgie esthétique, en utilisant de très faibles doses, injectées directement dans les muscles spécifiques, l’action du muscle est affaiblie et la ride secondaire à l’hyperaction de ce muscle disparaît.

 

Efface botox les rides en douceur ?

L’injection de toxine botulique (1ng) estompe pendant trois à six mois les marques du temps. Quelques gouttes dans les muscles qui ferment les paupières « effacent » les plis aux coins des yeux,(pattes d’oie), en piquant le muscle frontal on gomme les gros sillons qui barrent le front, les rides du lion, entre les sourcils ainsi que le muscle qui relie les sourcils et la partie supérieur du nez

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Est-ce que botox relâche les cordes vocale ?

Lorsque les cordes vocales se contractent trop, s’écartent mal lors de la prise de parole, on a du mal à se faire entendre. Cette maladie qui s’appelle Dystonie laryngée se traite par le Botox. Une injection dans la corde vocale de 0,1 à 0,2 ng de toxine botulique la rend moins tonique et cette injection sans anesthésie permet de retrouver la voix pour 6 mois.

 

Botox décontracte-elle les membres lésés ?

A la suite d’une lésion neurologique ayant entraîné une paralysie d’un membre, certaines personnes se retrouvent avec plusieurs doigts repliés à l’intérieur de la main ou avec une cheville qui part en dedans. Leurs contractions en continue peuvent être douloureuses, déformer une articulation et limiter les mouvements. Pour permettre à ces muscles de se relâcher, on injecte de la toxine botulique, dont les quantités peuvent varier de 2,5 à 13,5 ng.

 

Botox – détend-elle les muscles oculaires ?

Dans les trois pathologies suivantes, le strabisme, la myopathie thyroïdienne (l’œil subit une déviation verticale) ou le nystagmus (mouvements oculaires involontaires saccadés), un des muscles commandant le mouvements de l’œil se contracte trop, « tire » sur l’orbite et dévie ainsi la direction du regard. La toxine botulique peut stopper l’hyperactivité de ce muscle, et l’axe de vision est rectifié pendant plusieurs mois.

 

Botox – elle réduit la transpiration ?

Pour les 1 % d’adultes qui transpirent de façon pathologique sous les aisselles à cause de la suractivité de leurs glandes sudoripares ; la toxine botulique est une solution. L’injection de la toxine bloque la sécrétion de sueur par les glandes. Avec environ 2 ng, on soigne l’hyperhidrose de plus de 90 % des malades pendant près de sept mois.

Elle apaise les spasmes du visage

Dans ces trois pathologie Blépharospasme (paupières qui se ferment involontairement), bruxisme (mâchoires qui se serrent trop) et hémiplégie faciale; la toxine botulique réduit efficacement les symptômes en paralysant les muscles hypertoniques.

 

Comment soigner un torticolis ?

Souffrir d’un torticolis, ce n’est pas avoir la nuque endoloris après avoir dormir dans une mauvaise position. Le torticolis spamodique est un trouble neurologique sévere où plusieurs muscles du cou se contractent de façon soutenue. La toxine botulique, administrée dans les cinq muscles du cou et de la nuque, permet pendant plus de trois mois de garder la tête droite.

1 nanogramme (ng)= 1 milliardième de gramme

 

Quand dois-je arrêter ma dernière séance de Botox® avant d’être enceinte ?

Elle est largement utilisée en médecine esthétique pour le traitement des rides grâce son action paralysante sur les muscles faciaux. Son utilisation pendant la grossesse reste controversée. Or, de part l’augmentation du nombre d’injections et l’âge moyen de la grossesse qui augmente, le nombre de femme exposé augmente. L’objectif de cette étude est d’évaluer au travers d’une revue de la littérature les risques potentiels des injections de toxine botuliques chez la femme enceinte toutes indications thérapeutiques confondues. Depuis 2004, 35 grossesses chez 27 femmes injectées par toxine botulique ont été publiées. La plupart des injections ont eu lieu au cours du premier trimestre alors que la grossesse n’était pas connue. Aucune complication directement liée aux injections de toxine botulique n’a été recensée. Les injections de toxine botulique n’entraineraient donc pas de risque pour la grossesse. Néanmoins le rapport bénéfices-risques potentiel doit être évalué au cas par cas et la prudence doit être de mise, notamment lorsque les injections sont réalisées dans un but esthétique.

 

Qu’est-ce que le Vistabel®?

C’est le nom de la la 1ere toxine botulique autorisée en France dans le traitement des rides.initialement le vistabel(botox) était la seule toxine ayant une AMM pour cette indication mais depuis deux autres toxines sont sur le marché français : Azzalure et Bocouture.

Tous les médecins ne sont pas autorisés à pratiquer ces injections à visée esthétiques.

Seuls sont autorisés en France :

  • Les Chirurgiens plasticien
  • Les Dermatologues
  • Les chirurgiens Maxillo-faciaux
  • Les ophtalmologistes

 

Comment cela fonctionne-t-il ?

La toxine botulique provoque une diminution de la contraction musculaire par blocage chimique partiel du muscle, ce qui entraîne une diminution de la contraction musculaire partielle et localisée. Lorsqu’il est injecté dans un muscle, il empêche ce dernier de se contracter. L’effet apparaît habituellement entre 3 et 10 jours après l’injection.

Quelles sont les indications de la toxine botulique en esthétique ?  

Les rides d’expression ou les rides dues à des muscles. En effet, l’action des muscles peut causer ou exacerber des cassures cutanées ou des rides au niveau de la face.

– Les rides verticales entre les sourcils (rides du lion),

– les rides horizontales du front,

– les rides de la patte d’oie en sont un bon exemple.

 

Y-a-t-il des effets secondaires?

La toxine botulique a été utilisée pendant plus de 20 années chez des millions de patients (4 millions d’injections/an aux USA). C’est un produit qui a fait ses preuves. Cependant, comme tout traitement médical, il peut se produire des effets secondaires.

Les effets secondaires les plus fréquents sont:

  • Léger bleu, gonflement local et/ou un mal de tête passager.
  • Dans 1 à 2%, on a observé des cas de paupière tombante (Ptôsis) et/ou du sourcil, mais cet effet se rétablit généralement dans un délai d’une semaine. (Injection trop près du nerf)
  • Chez certains patients, on peut observer plus d’effet d’un côté que d’un autre, entraînant un aspect asymétrique.
  • Strabisme, un affaiblissement des muscles de l’oeil, est un effet secondaire provisoire qui a été observé.
  • Quelques patients développent une résistance au traitement.
  • Des éruptions dans de rares cas peuvent se produire.

 

Y-a-t-il des contre-indications ?

la toxine botulique est contre-indiquée chez les patients présentant :

  • Une infection aux points d’injection prévus,
  • Chez les patients ayant montré une hypersensibilité à l’un des composants quelconques de la formule.
  • Les femmes enceintes ou qui allaitent,
  • Les personnes allergiques à l’albumine ou à la toxine Botulique
  • En outre, les personnes souffrant de problèmes neurologiques (myasthénie),
  • Association aux aminosides

 

Que dois-je faire avant et après une injection?

Ne prenez pas d’aspirine ou d’anti-inflammatoire comme médicaments au moins pendant 1 semaine avant et après le traitement.

Évitez toute pression, comme de vous coucher sur la zone traitée ou de masser la zone traitée pendant 12 heures après traitement.

 

Combien de temps persiste l’action de la toxine botulique ?

Le traitement actuel prend seulement quelques minutes. Les effets commencent à apparaître sous 3 à 8 jours et sont à leur maximum au quinzième jour après l’injection. Progressivement, après 4 à 6 mois, les effets diminuent et l’action musculaire réapparaît.

Au bout de quelques injections, la contraction musculaire diminue progressivement et les retouches nécessaires deviennent moins importantes et plus espacées. Ainsi, la première année, la fréquence d’injections se situe aux 4-6 mois et diminue progressivement avec l’usage, pour parfois atteindre 12 mois.

Toutefois, lorsque les rides deviennent permanentes, la toxine botulique doit être combiné à un autre traitement puisqu’à ce moment, le collagène est déjà détruit.

Grossesse et botox ?

La toxine botulique de type A est une protéine purifiée issue de la bactérie Clostridium Botulinium dont les indications thérapeutiques sont variées (blépharospasme, dystonie, hyperhydrose…). Elle est largement utilisée en médecine esthétique pour le traitement des rides grâce son action paralysante sur les muscles faciaux. Son utilisation pendant la grossesse reste controversée. Or, de par l’augmentation du nombre d’injections et l’âge moyen de la grossesse qui augmente, le nombre de femme exposé augmente. L’objectif de cette étude est d’évaluer au travers d’une revue de la littérature les risques potentiels des injections de toxine botuliques chez la femme enceinte toutes indications thérapeutiques confondues. Depuis 2004, 35 grossesses chez 27 femmes injectées par toxine botulique ont été publiées. La plupart des injections ont eu lieu au cours du premier trimestre alors que la grossesse n’était pas connue. Aucune complication directement liée aux injections de toxine botulique n’a été recensée. Les injections de toxine botulique n’entraineraient donc pas de risque pour la grossesse. Néanmoins le rapport bénéfices-risques potentiel doit être évalué au cas par cas et la prudence doit être de mise, notamment lorsque les injections sont réalisées dans un but esthétique.

 

Pourquoi transpiration excessive ?

La transpiration excessive peut être secondaire à certaines conditions médicales comme le diabète, un dysfonctionnement thyroïdien, la ménopause, un désordre d’anxiété, un traumatisme nerveux, etc. La très grande majorité des cas de transpiration excessive est d’origine idiopathique, c’est-à-dire sans cause spécifique connue. Toutefois, on croit à une origine héréditaire possible.

 

Les statistiques concernants la hypersudation – comment cela nous influence ?

Environ 3 % de la population générale en sont atteints et 30 % ont des antécédents familiaux.

Par ailleurs, l’hypersudation a des conséquences directes sur la vie des gens. Des études sérieuses auprès de 320 patients démontrent que :

  • 55 % étaient modérément limités au travail
  • 48 % étaient très limités au travail
  • 20 % n’ont pu poursuivre une carrière précise
  • 71 % manquaient de confiance en eux
  • 48 % étaient malheureux et déprimés
  • 15 % prenaient des antidépresseurs
  • 25 % ont délibérément manqué des sorties avec leur famille ou leurs amis par gêne

 

Toxine botulique – la solution pour quoi ?

La toxine botulique s’utilise depuis plus de 20 ans dans le traitement de plusieurs troubles musculaires tels que le blépharospasme (tic des paupières), le strabisme (yeux qui louchent) et la dystonie cervicale (torticolis). Au cours des dernières années, plusieurs autres problèmes médicaux (incontinence, reflux, maux de tête, etc.) ont trouvé dans la toxine botulique un traitement simple et efficace. De par son profil d’innocuité et le fait d’être reconnu comme traitement depuis plus de 20 ans pour divers troubles médicaux, il devient une solution de rechange très appréciable dans ce genre de traitement.

 

Comment toxine botulique soigne hypertranspiration ?

La toxine Botulique est une protéine produite en laboratoire par une bactérie (Botulinum de type A). Des méthodes hautement spécialisées d’extraction et de purification permettent d’isoler la toxine, qui agit en bloquant le déclenchement du messager responsable de la sudation. Ainsi, lorsque le corps envoie un signal nerveux aux glandes sudoripares pour qu’elles se mettent à transpirer, la toxine botulique arrête ce signal, ce qui empêche l’hypersudation.

 


MÉSOLIFT

Comment fonctionne le mésolift ?

Grâce à son système pneumatique, le pistolet U225, qui fonctionne comme une mitraillette, permet d’injecter à raison de 500 tirs minute un cocktail de vitamines et d’acide hyaluronique non réticulé (NCTF-HA de Filorga) sur le visage, le décolleté et / ou les mains. Cette technique réveille la fabrication des fibroblastes, active les cellules qui libèrent des cytokines inflammatoires, des facteurs de croissance (TGF betal) et des facteurs plaquettaires.

 


LED

LED – comment ca marche ?

Lorsqu’une cellule est touchée par une onde de lumière, selon la longueur d’onde du rayon lumineux, elle entrera en « résonance » et l’agitation provoquée par l’absorption de l’énergie lumineuse va causer des changements chimiques et physiques qui vont stimuler l’activité de la cellule.  Les cellules de la peau possèdent des récepteurs et le principe de captation de lumière est similaire à la photosynthèse des plantes.

La stimulation des cellules par la lumière des LED déclenche une reprogrammation métabolique qui va accélérer ou calmer différents processus.

Outre leurs bienfaits curatifs directs, les LED ont également des bienfaits psychologiques directement liés à l’exposition régulière aux sources de lumières rouge et infrarouge.

 

Comment LED traite ses cheveux ?

La formule spécifique du traitement directement injectée dans le derme superficiel du cuir chevelu permet d’améliorer la qualité des cheveux de la racine aux pointes. Les pores sont ainsi ouverts et permettent une meilleure réception des LED spécifiques anti chute ou cheveux cassants.

La chute des cheveux est considérablement ralentie, les cheveux sont restructurés et renforcés, le cuir chevelu est réhydraté.

 

La lumière LED contre acné, ça marche ?

Dans l’acné, le couple infection / inflammation joue un rôle clé qui peut être combattu par les propriétés biologiques de la lumière. Les LED sont des sources de lumière froide faiblement énergétique pour la plupart.

 

Chez qui apparaissent les vergetures ?

Les vergetures se présentent sous formes stries linéaires. Elles sont souvent multiples et symétriques. Elles touchent actuellement environ 50% de la population. Les premières apparitions peuvent avoir lieu au cours de la puberté (25% des filles touchées, 10% pour les garçons) mais principalement pendant la grossesse (60 à 70 % des femmes, milieu du 6ème/7ème mois).

 

Qu’est-ce que la réjuvénation cutanée par LED ?

La réjuvénation cutanée par LED est l’interaction de la lumière, dispensée par des Diodes émettrices de Lumière (DEL ou LED), avec des récepteurs cellulaires, créant ainsi une production ou une multiplication du collagène. Une des applications originales des LED est la Thérapie Photo-Dynamique (PDT), utilisant des topiques photo-actifs pour le traitement des kératoses acnéiques ou des lésions précancéreuses.

 

En quoi les LED sont-elles différentes d’un traitement au laser ou à la Lumière Pulsée (IPL) ?

Les autres traitements cutanés à base de lumière, y compris le laser et la lumière pulsée, se basent sur les effets thermiques causés au collagène, à l’eau ou aux vaisseaux sanguins pour opérer des changements dans l’apparence cutanée. La réjuvénation cutanée par LED n’est pas basée sur l’énergie thermique  et ses altérations tissulaires pour opérer des changements. Par conséquent, les patients ne sont pas sujets à ces dommages et à leur cicatrisation.

 

Les vergetures sur peau noire ?

Les vergetures sur peaux noires sont plus larges et les zones touchées moins habituelles (épaules, intérieurs de bras).

Chez les populations à la peau noire, les mélanomes produits sont plus larges, leur contenu mélanique plus dense. Au contraire, chez les populations blanches, les mélanomes, dont les caractères s’opposent à ceux des précédents, sont associés dans des vésicules limitées par une membrane.

Ainsi, chaque mélanocyte contient 5 fois plus de mélanomes chez un sujet asiatique que chez un individu de race blanche et 8 à 10 fois plus chez un sujet noir que chez un blanc. L’exposition solaire entraîne une stimulation de la mélanogenèse et une augmentation du nombre des mélanocytes. Il est donc nécessaire de s’exposer aux rayons soleil, raisonnablement, pour tous les types de peau mais surtout pour les peaux colorées.

 

La photothérapie par lumière LED pour améliorer la peau ?

En photothérapie, pour que la lumière exerce un effet biologique, il faut avant tout qu’elle soit absorbée par une molécule. Lorsque celle-ci est irradiée dans de bonnes conditions, elle acquiert une énergie excédentaire, elle est dite « excitée  » ce qui lui permet de déclencher une série de réactions biochimiques.

Ainsi, les ondes émises par des LED permettent de stimuler l’ensemble des mécanismes de régénération cellulaire.

La lumière émise par le LED est une lumière froide, monochromatique. Les LED émettent suffisamment d’énergie pour stimuler une réponse cellulaire du corps permettant une guérison. La lumière est une onde composée de multiples longueurs d’ondes caractérisées par une couleur précise. Les ondes visibles sont appelées ´ »couleurs », les autres sont invisibles, comme les UV et les infrarouges. Chacune d’elle produit des vibrations électromagnétiques spécifiques.

 

Comment fonctionne la réjuvénation cutanée par LED ?

Les LED offrent une méthode de réjuvénation cutanée totalement naturelle, non invasive.

La lumière des LED interagit avec les cellules et engendre une nouvelle production de collagène et d’élastine. Les études confirment que cette même énergie LED peut être utilisée pour inhiber la formation de collagène, ce qui peut être utile dans le traitement des cicatrices. En fonction des longueurs d’onde, les cellules peuvent être ouvertes ou fermées. Les lumières LED rouges sont utilisés pour la photo-réjuvénation. Les lumières LED bleues sont utilisés pour le traitement de l’acné.

 

Combien de temps avant de voir les résultats ?

Cela est variable en fonction de la peau de chacun, mais la plupart des gens voient et ressentent une différence après environ quatre séances. Selon la peau, certains verront des résultats quasiment immédiatement après la première séance, et d’autres auront besoin de davantage de séances. Les traitements étant progressifs, nous recommandons une durée de traitement d’au moins 10 semaines, pour des résultats optimum.

Résultats visibles après traitement de 10 séances et associé à une séance de dermabrasion.

 

Les traitements par LED fonctionnent-ils sur tout le monde ?

Il est prouvé que les traitements par LED sont efficaces sur tous les types de peau. Le taux de succès est supérieur à 90% chez les personnes utilisant notre système.

 

Cela peut-il causer des dommages à mes yeux ?

Aucune étude n’a montré d’effet néfaste sur les yeux lorsque notre système est utilisé correctement. Cependant, nous recommandons de ne pas fixer directement les LED, et nous fournissons des protections oculaires pour votre confort.

 

Puis-je recevoir des traitements de réjuvénation cutanée par LED en même temps que d’autres traitements ?

Oui. La réjuvénation cutanée par LED peut être dispensée seule, ou en synergie avec d’autres traitements. Elle est fortement complémentaire avec d’autres traitements cutanés ainsi qu’avec les traitements non invasifs au laser ou IPL.

Partout dans le monde, les médecins, dermatologues et chirurgiens esthétiques font de la réjuvénation cutanée par LED leur traitement favori des ridules, lésions hyper pigmentaires (taches brunes et taches de rousseur) et autres dommages cutanés liés à l’âge.

 

Puis-je combiner le traitement par LED avec des produits pour la peau ?

Oui. La réjuvénation cutanée par LED peut être dispensée seule, ou en synergie avec des produits de soin cutané. De nombreux médecins utilisent les traitements par LED en complément de produits de soin cutané  afin d’améliorer leurs effets.

L’association d’une séance de  Dermabrasion ou de Peeling favorise et accélère le processus de diminution des vergetures.

 

Le traitement de LED est-il douloureux ?

Non. Le traitement est très relaxant. La transmission de l’énergie LED à la peau est totalement indolore. L’énergie délivrée par les LED est suffisamment douce pour traiter tous les types de peau.

 

Comment me sentirai-je après le traitement LED ?

La plupart des patients retournent à leurs activités immédiatement. Les patients apprécient beaucoup que la réjuvénation cutanée par LED soit un traitement rapide. Ils ne manquent ainsi aucune de leurs activités.

 


INJECTION SOUS SÉDATION CONSCIENTE

Comment ne plus avoir peur des injections ?

A l’aide d’une pratique médicale appelée sédation consciente. Elle fait appel à un médicament prescrit et utilisé par les dentistes, services urgences pédiatriques, dermatologues. Ce médicament est inhalé à l’aide d’un masque. Ce médicament peut être prescrit de l’enfant (+ d’un mois) à la personne âgée. La sédation consciente favorise votre confort physique et psychique en vous rendant détendu(e) et relaxé(e) sans pour autant vous endormir.

 

 

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